Nous exploitons les propriétés germicides des UV-C pour décontaminer l’air et le matériel, sans danger pour les personnes.

Nous exploitons les propriétés des UV-C pour décontaminer l’air et le matériel, sans danger pour les personnes.

La technologie UVGI (Ultraviolet Germicidal Irradiation) Ultra-Violets Germicides est rapide et efficace, sans produits chimiques. Elle est utilisée dans les laboratoires depuis plus de 150 ans.

 La particularité de ON-LIGHT est d’être aujourd’hui capable de contrôler cette puissance lumineuse pour exploiter le potentiel germicide des UVGI, hors de l’usage standardisé des laboratoires (appareils de stérilisation) pour la transposer aux lieux publics, avec un fonctionnement en présence de personnes, en continu et en toute sécurité.

La lumière et ses propriétés​

La lumière et ses propriétés​

La lumière est constituée de nombreuses longueurs d’ondes, certaines visibles, d’autres non.

Notre œil ne voit parfaitement que la partie visible du spectre électro-magnétique, de 400 nanomètres (nm) de longueur d’onde (lumière bleue) à 700 nm (lumière rouge).

Si les infra-rouges sont perçus par la chaleur qu’ils dégagent, les ultra-violets ne sont pas immédiatement ressentis mais leurs effets nocifs sur la peau et les yeux sont réels.

Les UV-A nous font bronzer. Par leur action au niveau basal, ils provoquent une réaction de protection des cellules de notre peau par la synthèse de mélanine responsable du bronzage.

Les UV-B, plus énergétiques mais moins pénétrants que les UV-A, nous aident à synthétiser de la Vitamine D et aident à lutter contre le psoriasis et l’eczéma.

C’est le caractère pénétrant de ces deux rayonnements (UV-A et UV-B) qui les rend nocifs pour la peau (dégénérescence des cellules), en cas de surexposition.

Les UV-C que nous exploitons ont une longueur d’onde très courte. Ils sont rapidement absorbés en surface mais ont suffisamment d’énergie pour pénétrer de très petits pathogènes et avoir un effet germicide sur les virus, bactéries et les spores.

C’est sur cette propriété que se basent nos systèmes de décontamination de l’air, des objets et des surfaces.

Mécanismes d'inactivation​

Mécanismes d'inactivation​

Très énergétiques, les rayons UV-C sont absorbés par le matériel génétique des pathogènes du fait de leur faible taille : virus de 20 à 200 nm et bactéries de 1000 à 2000 nm.

Cette absorption forme des nœuds dans le code génétique des pathogènes (dimérisation) et rend la lecture et l’expression du génome impossible.

Les virus sont alors incapables, une fois dans une cellule, d’exprimer leur code génétique et sont détruits par les cellules.

Les bactéries, quant à elles, ne peuvent créer les protéines dont elles ont besoin.

Action germicide des UV-C

Résultat : exposés à des rayons UV-C, les bactéries meurent et les virus sont inactivés, ils ne parviennent plus à infecter leurs hôtes ni à se reproduire.

Cette technique permet de lutter notamment contre le SARS-CoV-2 (Covid-19), la tuberculose, la grippe, la grippe aviaire…

Un fonctionnement en continu​

Un fonctionnement en continu​

La plupart des pathogènes émis par les personnes le sont par leur respiration.

L’air qui sort de nos poumons est à 35°C, plus chaud que l’air ambiant. Il monte et emporte avec lui les pathogènes.

La zone supérieure des pièces est donc le bon endroit pour les détruire.
Quand l’air chaud passe dans le faisceau germicide, les pathogènes sont détruits.

Il y a toujours un mouvement d’air dans une pièce car il y a toujours une surface chaude et une surface froide.
 
 En été, on visualise bien ce mouvement grâce aux raies de lumière contenant de petites poussières en suspension.

Sur le marché, les solutions de décontamination de l’air par UV-C sont les plus efficaces mais pas forcément les plus connues.

Sur le marché, les solutions de décontamination de l’air par UV-C sont les plus efficaces mais pas forcément les plus connues.

Avantages concurrentiels

Comparaison avec l’aération, la ventilation et la filtration

Comparaison avec l’aération, la ventilation et la filtration

L’aération est la solution la plus simple : ouvrir les fenêtres.

Cependant, elle n’est pas toujours efficace (cela dépend des différences de température, des lieux, du vent extérieur…) sauf si elle consiste à créer un courant d’air puissant.

Mais cela n’est pas toujours possible ou souhaitable (notamment à cause de problèmes de température, de bruit, de pollution, de sécurité…).

La ventilation est souvent mise en avant.

Néanmoins, elle n’est généralement pas efficace par faute de débit suffisant.

Pour lutter contre des pathogènes, il faut 10+ ACH d’air sain (air extérieur ou air recirculé fortement traité), ce qui demande des installations spécifiques, bien différentes des climatisations / ventilations habituellement installées.

Ces ventilations ne se retrouvent généralement que dans les blocs opératoires.

Même dans les hôpitaux, les climatisations standard ne fournissent que rarement plus de 2 ACH pour des questions de consommation d’énergie (chauffage/refroidissement de l’air, humidification…).

La filtration via des purificateurs s’est développée.

Les filtres HEPA sont très efficaces pour piéger les particules, y compris pathogènes.

En revanche, les filtres ne traitent que l’air qui passe au travers. L’efficacité est donc intimement liée au débit.

Dans un bureau de 12 m2 (3x4m) il faut un débit d’environ 300m3/h.
Dans une salle de classe de 60m2 (6x10m) :1500m3/h.

De tels débits entrainent une consommation d’énergie non négligeable (300m3/h = 50à 70W) et surtout un bruit important (selon les modèles, il équivaut à celui d’une machine à laver en essorage ou d’un aspirateur), ce qui est insupportable à long terme.

La plupart des purificateurs sont alors vite éteints ou mis à vitesse réduite et leur efficacité est nulle.

S’ajoute le problème de leur maintenance : préfiltres et filtres à changer régulièrement, capteurs à nettoyer… Un purificateur sans maintenance est inefficace, comme un aspirateur si on ne change jamais le sac.

Attention également aux systèmes qui génèrent de l’ozone ou des radicaux (système à catalyse encore appelée PCO (Photo Catalytic Oxydation) : ils créent des espèces chimiques très réactives et nocives, et sont très fortement déconseillés.

Avantages du système de décontamination de l’air UV-AIR développé par ON-LIGHT

Notre système UV-Air a été développé pour proposer une solution de décontamination innovante et pérenne face aux solutions traditionnelles non satisfaisantes en termes à la fois d’efficacité, de maintenance dans le temps et de confort pour les usagers.

Notre dispositif de décontamination de l’air UV-Air est :

  • Efficace: une pièce est sécurisée en moins de 10mn grâce à notre technologie brevetée.
  • Peu gourmand en énergie: 1W/m2 protégé.
  • Sans filtre: pas de consommable à racheter ni à remplacer.
  • Sans bruit.
  • Sans émission: il n’émet ni Ozone ni autre espèce chimique.
  • Très facile à installer.

Nous sommes également fiers de pouvoir préciser que ce produit est 100% Made in France.
Il a été conçu et développé par ON-LIGHT et il est fabriqué en Région Auvergne-Rhône-Alpes.

Depuis toujours, les UVGI sont la solution la plus pertinente pour neutraliser les pathogènes.

UVGI (Ultraviolet Germicidal Irradiation) ont été découverts il y a près de 150 ans par Messieurs Blunt & Downes qui ont remarqué que certains types de lumière tuaient les bactéries.

Cet effet restait largement inexpliqué malgré la connaissance de l’ADN dès 1860 (mais pas de sa structure).

En 1930, Gates prouvera que ce sont les acides nucléiques, les « lettres » du code génétique, qui sont sensibles aux UVGI (UV germicides).

Les systèmes UVGI pour la décontamination de l’air ont été mis au point aux USA en 1930, pour lutter contre de nombreuses maladies respiratoires, mortelles car sans traitement.

A cette époque, la rougeole était régulièrement responsable de la mort de 5% des enfants lors des épidémies.

La tuberculose faisait aussi des ravages à tout âge avec un taux de 30% de mortalité.

Il n’existait pas de vaccin, pas d’antibiotiques et donc pas de moyen de se protéger des maladies virales ou bactériennes.

Seule la prévention était possible.

C’est pourquoi, en 1946, les 1400 plus gros hôpitaux américains ainsi que 300 groupes scolaires se sont équipés de ces nouveaux dispositifs. Ils ont permis de réduire considérablement la transmission des maladies avec une diminution de 85% de la propagation de la rougeole et de 80% pour la tuberculose.

Avec la guerre sont ensuite apparus les antibiotiques, notamment la pénicilline, qui a permis de lutter efficacement contre les maladies bactériennes.

Puis, les années 60 ont été marquées par l’apparition des premiers vaccins comme la rougeole en 1957.

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